Une enquête a été menée par le quotidien 20 minutes du 30 novembre au 4 décembre 2018, sur les jeunes ayant choisi de quitter le domicile familial. Sur la base de 967 participants à l’enquête, 51,5 % reviennent au bercail suite à une rupture amoureuse, 13,6% suite à une perte d’emploi ou 6,1 % à cause d’une perte de logement. On les appelle les enfants "boomerang".
Ceux et celles qui ont dû déchanter et se décider à revenir vivre chez papa et maman, doivent de nouveau accepter les « règles » de la maison définie par les parents, alors que d’un côté c’était l’une des raisons qui ont poussé bien des jeunes à vouloir quitter le nid familial pour jouir de leur petite liberté ; mais 29% d’entre eux ne veulent en faire qu’à leur tête et font fi de l’autorité parentale.
Le domicile familial reste pour certains un lieu de repli en cas de coup dur. Au départ, si on ne t’a pas balancé la phrase qui tue « Tu pars et tu ne reviens plus », tout espoir de retrouver la petite chambrette n’est pas perdu.
Sources : 20 minutes du 5 Décembre 2018
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