Les premiers pas
Dans les années 1970, le calme plane sur le bloc Est et Ouest de l’Europe. La CSCE (Conférence sur la Sécurité et la Coopération en Europe) a été créée à Helsinki dans le but de permettre à tous les États participants de s’investir de façon équitable, c’est-à-dire de respecter les diverses lois politico-militaires, environnementales, économiques et des droits de l’Homme mises en place.
Ceci a instauré et définit les principes constitutifs du comportement des États les uns envers les autres et face à leurs ressortissants ‘’le Décalogue d’Helsinki en 1975’’ .
L’objectif de ces conférences et de ces réunions était d’observer régulièrement sa bonne mise en place et de renforcer les promesses faites par les Etats participants. Mais à partir de 1990, avec la fin de la guerre froide, son aspiration a pris une autre direction.
En effet, au cours du Sommet de Paris, la CSCE fût invitée à prendre part à la gestion du changement et de l’adaptation historique en Europe. En effet, elle s’investit alors dans les défis de l’après-guerre froide en établissant des institutions permanentes et des aptitudes opérationnelles.
Évolution
C’est dans le contexte de son authentification, en 1994 à Budapest, qu’elle est devenue l’OSCE (Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe). Cela en fait aujourd’hui la plus grande organisation de sécurité régionale du monde, en œuvrant pour la paix et la démocratie, et pour plus d’un milliard de personnes.
Le financement de l’organisation est garanti par les 57 États participants.
Actuellement, elle emploie quelques 550 personnes dans les diverses institutions et près de 2330 personnes sur les terrains opérationnels.
Au 1er juin 2017, son budget s’élevait à 138 982 600 euros.
Source : http://www.osce.org/fr/